Ce matin sur Facebook j'ai découvert une artiste et illustratrice qui a créé un livre super pour les enfants sur le thème des stéréotypes de genres. Vous y trouverez des filles qui pètent, des garçons sensibles, des filles drôles et des garçons qui prennent soin des plus petits...
Ce petit livre est gratuit, vous pouvez l'imprimer, c'est par ici pour le télécharger ou le lire en ligne : Livre "tu peux"
Et pour en savoir plus sur cette artiste, allez visiter son site : http://elisegravel.com/
Ce blog me permet de regrouper et de partager toutes mes lectures. Elle proviennent de différents sites internet, de facebook, ou de journaux, livres ...
Je cite toujours mes sources donc n'hésitez pas à aller voir la version originale !
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mercredi 17 septembre 2014
samedi 13 septembre 2014
Les 3 P de la non production
Lien vers le blog de ses articles : blogdumoderateur.com/perfectionnisme-procrastination-paralysie/
Les 3 P de la non production : Perfectionnisme - Procrastination - Paralysie
Les 3 P de la non production : Perfectionnisme - Procrastination - Paralysie
Au travail,
les tâches doivent être accomplies. On souhaite aussi qu’elles soient
bien réalisées. Mais trop souvent, on souhaite que les choses soient
« trop » bien faites. L’équilibre fait rapidement / bien fait est
difficile à atteindre. En s’attardant parfois sur des détails, en
cherchant à atteindre la perfection, on oublie l’essentiel : respecter
un certain niveau de qualité est important, mais réaliser ses tâches en
temps voulu l’est tout autant. Sous prétexte de souhaiter le meilleur,
on perd souvent un temps fou à la réalisation de ces tâches… quand on
les commence ! Pour de multiples raisons, les perfectionnistes ont
tendance à repousser les tâches au lendemain pour « mieux les
réaliser ». C’est pourtant la meilleure solution pour ne jamais
accomplir ses tâches en restant paralysé.
Les méfaits du perfectionnisme : le mieux, c’est l’ennemi du bien
Si
le perfectionnisme part d’une intention louable, ses inconvénients sont
plus nombreux que ses avantages. Pour mieux comprendre ses méfaits,
il suffit de regarder du côté de la loi de Pareto, également connue sous le nom de loi de 80/20, établie par Vilfredo Pareto (1848-1923), un économiste italien
:
« 80% des résultats sont obtenus par seulement 20% du travail ».
Pour en savoir plus ... ici
Pour en savoir plus ... ici
Un autre problème avec le
perfectionnisme est qu’il nous incite à agir en dehors des processus
pré-établis. Quand une décision est prise, il est important de passer à
l’étape suivante sans revenir sans cesse sur ses pas. Un perfectionniste
aura tendance à remettre en cause les étapes précédentes des projets.
Cette attitude freine l’avancement des projets de deux façons : pendant
ce temps, le perfectionniste n’avance pas sur ses propres tâches, il se
paralyse ; et il peut annuler le bien-fondé des tâches de ses collègues.
Si la remise en cause est légitime pour ne pas foncer dans un mur, elle
doit être effectuée avec parcimonie, à des moments choisis. La remise
en cause perpétuelle ne sert à rien.
Le
perfectionnisme n’est pas néfaste que pour les projets : il est
également nuisible pour le moral des personnes qui cherchent à affiner
tous les détails. La perfection étant un idéal difficilement
atteignable, le perfectionniste n’est jamais satisfait. La satisfaction
d’avoir accompli sa tâche de manière quasi-parfaite peut intervenir à la
fin d’un projet mais ne durera jamais très longtemps.
D’autres phénomènes accentuent ce sentiment d’inachevé : le perfectionniste pense constamment que les choses auraient pu être mieux faites, qu’il y a encore beaucoup à faire et à tendance à être plus sévère avec lui-même. Sans parler de la simple vision de la liste de tâches, qui s’allonge de jour en jour vu le temps passé à accomplir la moindre tâche…
D’autres phénomènes accentuent ce sentiment d’inachevé : le perfectionniste pense constamment que les choses auraient pu être mieux faites, qu’il y a encore beaucoup à faire et à tendance à être plus sévère avec lui-même. Sans parler de la simple vision de la liste de tâches, qui s’allonge de jour en jour vu le temps passé à accomplir la moindre tâche…
Du perfectionnisme à la procrastination et la paralysie
Que
le perfectionnisme entraîne une chute de la productivité pendant
l’exécution d’une tâche est une chose ; mais il entraîne également un
report systématique de nombreuses tâches, une sorte de paralysie. La
peur de mal faire, la peur de ne pas avoir suffisamment de temps pour
bien faire, la peur de ne pas réussir à atteindre un objectif
sont souvent évoquées pour justifier cette procrastination. Bref, la
peur de l’échec.
On peut
avoir peur de la durée d’une tâche à cause du niveau d’exigence
souhaité, qui peut être trop élevé. En ce sens, le perfectionnisme
incite à la procrastination. Si la durée d’un projet dans son ensemble
s’annonce élevée, il peut être utile de diviser la tâche en sous-tâches
rapides, priorisées, pour se concentrer sur les étapes urgentes et
importantes (selon la matrice d’Eisenhower par
exemple).
On considère que les tâches peuvent être urgentes et importantes, non-urgentes mais importantes, urgentes mais non-importantes, ou ni urgentes ni importantes. Distinguer ces 4 types de tâches est essentiel. La matrice d’Eisenhower permet de classer ses différentes tâches pour mieux les prioriser. Elle comprend 4 zones, l’idée est de répertorier les tâches selon leur importance et leur urgence au sein de cette matrice.
Une bonne manière de commencer à travailler rapidement, sans perdre de temps, en se focalisant sur les sous-tâches à forte valeur ajoutée. On a plus de chance de terminer une tâche si on la commence !
On considère que les tâches peuvent être urgentes et importantes, non-urgentes mais importantes, urgentes mais non-importantes, ou ni urgentes ni importantes. Distinguer ces 4 types de tâches est essentiel. La matrice d’Eisenhower permet de classer ses différentes tâches pour mieux les prioriser. Elle comprend 4 zones, l’idée est de répertorier les tâches selon leur importance et leur urgence au sein de cette matrice.
Une bonne manière de commencer à travailler rapidement, sans perdre de temps, en se focalisant sur les sous-tâches à forte valeur ajoutée. On a plus de chance de terminer une tâche si on la commence !
Lutter
contre cette boucle infinie (perfectionnisme > procrastination >
paralysie) permet de gagner un temps précieux. Mais cela permet aussi de
retrouver de l’énergie et de la créativité. Le fait de penser à une
tâche pour la repousser à plus tard, rester statique, ou à passer un
temps fou sur les détails peu s’avérer énergivore et très stressant pour
le salarié ou le freelance concerné.
Par où commencer pour lutter contre ce cercle vicieux ?
Déjà,
pensez à la loi de Pareto. Ne vous sentez pas en faute si tout n’est
pas parfait : vous l’êtes sans doute davantage si tout n’est pas
terminé, sauf pour certains métiers qui exigent un niveau de qualité
élevé avant tout. Mais au final, très peu de secteurs sont concernés :
la médecine l’est sans doute, mais vos responsabilités sont
clairement moins lourdes que celles d’un médecin, même s’il peut être
plaisant de penser le contraire.
Ensuite, il est important de suivre une méthode reconnue et de s’y tenir, quoi qu’il arrive. On pense à la méthode Pomodoro,
une méthode simple de gestion du temps, qui permet de se focaliser sur une tâche précise sur de courtes
périodes pour avancer dans ses projets. L’évolution des outils en ligne a
permis à ces méthodes d’être applicables facilement.
1 – Pendant 25 minutes, vous n’allez porter votre attention que sur une activité (appelée tomate) unique et rien d’autres
Votre intérêt ne se bornera qu’à la réalisation de cette tâche. Vous ne vous laisserez pas distraire par quoique ce soit d’autres. Vous ne pouvez pas interrompre cette activité pour autre chose et revenir ensuite à votre tâche initiale. Vous ne pouvez pas poursuivre au-delà des 25min même si vous pensez terminer la tâche avec quelques secondes de plus.
2- Après chaque tomate, vous faites une pause de 3 à 5 min
Il s’agit d’un break total pendant lequel vous ne faîtes rien de stimulant : juste de la relaxation et du bon temps en somme
3- Après 4 tomates accomplies, vous devez faire une pause plus longue de 15 à 30 min
C’est le moment idéal pour vous livrer à vos actions gourmandes en temps, peu rentables mais faussement libérateurs. Exemple : lisez vos mails, surfez sur le net, …
4- Enfin, n’oubliez pas de prendre des notes sur les tomates que vous vous serez farcies
Quand les 25 minutes sont terminées, notez l’intitulé de la tâche effectuée. Cette prise de note vous permettra de mesurer le temps passé sur vos projets et de gardez une trace de vos actions pendant la journée. Faites le bilan de vos prouesses à la fin de la journée.
Quand vous retombez dans vos travers, quand vous insistez pour fignoler les détails ou quand vous procrastinez, arrêtez-tout : pensez aux conséquences de vos actions, en temps, en argent, vis-à-vis de vos projets ou de vos collègues. Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?
1 – Pendant 25 minutes, vous n’allez porter votre attention que sur une activité (appelée tomate) unique et rien d’autres
Votre intérêt ne se bornera qu’à la réalisation de cette tâche. Vous ne vous laisserez pas distraire par quoique ce soit d’autres. Vous ne pouvez pas interrompre cette activité pour autre chose et revenir ensuite à votre tâche initiale. Vous ne pouvez pas poursuivre au-delà des 25min même si vous pensez terminer la tâche avec quelques secondes de plus.
2- Après chaque tomate, vous faites une pause de 3 à 5 min
Il s’agit d’un break total pendant lequel vous ne faîtes rien de stimulant : juste de la relaxation et du bon temps en somme
3- Après 4 tomates accomplies, vous devez faire une pause plus longue de 15 à 30 min
C’est le moment idéal pour vous livrer à vos actions gourmandes en temps, peu rentables mais faussement libérateurs. Exemple : lisez vos mails, surfez sur le net, …
4- Enfin, n’oubliez pas de prendre des notes sur les tomates que vous vous serez farcies
Quand les 25 minutes sont terminées, notez l’intitulé de la tâche effectuée. Cette prise de note vous permettra de mesurer le temps passé sur vos projets et de gardez une trace de vos actions pendant la journée. Faites le bilan de vos prouesses à la fin de la journée.
Quand vous retombez dans vos travers, quand vous insistez pour fignoler les détails ou quand vous procrastinez, arrêtez-tout : pensez aux conséquences de vos actions, en temps, en argent, vis-à-vis de vos projets ou de vos collègues. Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?
Et
surtout, n’attendez pas que toutes les conditions soient optimales pour
démarrer une tâche. Car ça n’arrive jamais. Commencer, c’est le
meilleur moyen de mener à bien vos projets.
D’un point de vue plus personnel, ne culpabilisez pas à l’idée d’accomplir vos tâches en baissant légèrement votre niveau d’exigence. Dîtes-vous bien que le pire, c’est de passer un temps fou sur les détails en éludant des tâches à venir bien plus importantes. N’oubliez pas que le mieux, c’est l’ennemi du bien.
Liens vers les articles :
blogdumoderateur.com/perfectionnisme-procrastination-paralysie
blogdumoderateur.com/technique-pomodoro
etre-meilleur.com/gestion-du-temps/la-technique-pomodorou-lart-de-gerer-son-temps-grace-a-une-tomate.html
changer-vie-action.fr/ne-soyez-pas-perfectionniste-visez-lexcellence
managementvisuel.fr/lutter-contre-la-procrastination-article-magazine-bilan/
D’un point de vue plus personnel, ne culpabilisez pas à l’idée d’accomplir vos tâches en baissant légèrement votre niveau d’exigence. Dîtes-vous bien que le pire, c’est de passer un temps fou sur les détails en éludant des tâches à venir bien plus importantes. N’oubliez pas que le mieux, c’est l’ennemi du bien.
Liens vers les articles :
blogdumoderateur.com/perfectionnisme-procrastination-paralysie
blogdumoderateur.com/technique-pomodoro
etre-meilleur.com/gestion-du-temps/la-technique-pomodorou-lart-de-gerer-son-temps-grace-a-une-tomate.html
changer-vie-action.fr/ne-soyez-pas-perfectionniste-visez-lexcellence
managementvisuel.fr/lutter-contre-la-procrastination-article-magazine-bilan/
vendredi 12 septembre 2014
La carte n'est pas le territoire
“la carte n’est pas le territoire” ?
Cette expression est un des présupposés de la PNL (Psycho Neuro Linguistique) et une phrase empruntée au fondateur de la « sémantique générale » Alfred Korzybski, mathématicien polonais.
Ce dernier nous apporte des éclairages profonds sur notre propre fonctionnement en tant qu'être humain et certains pièges à éviter.
Nous emmagasinons les informations de notre environnement, des événements, des gens, selon notre propre système de représentation, notre "carte du monde". Notre réalité (ce que l'on croit comme vrai, notre monde) n'est rien d'autre qu'une représentation intérieure de la réalité extérieure du monde dans lequel on vit. La représentation interne que nous avons d’un événement extérieur est donc différente de l’événement proprement dit.
La perception du monde – "le territoire" – passe par l’intermédiaire de nos cinq sens : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût. On prend ces stimuli externes pour s’en faire une représentation interne dans notre cerveau, "la carte".
Nos sens nous bombardent de plus de stimuli que ce que notre conscient peut retenir. Nos filtres travaillent pour retenir ce qui est essentiel pour nous, au moment où ça se passe. Sans ce filtrage, nous serions débordés par le "trop plein" d'informations. En plus du filtre de nos 5 sens, la réalité passe également par le filtre de nos valeurs, nos croyances, nos souvenirs, notre culture, notre éducation, etc.
Notre vision du monde, notre carte, ce que nous considérons comme NOTRE réalité est donc le résultat de notre machine à filtre (les 5 sens, les valeurs, les croyances, l'éducation, la culture ...). Et nous avons tous notre propre machine !
Voici un petit schéma pour illustrer ce propos:
Pour Korsysbsky, la plupart des difficultés dans les relations humaines viennent du fait que les gens confondent la carte et le territoire. Nous avons tendance à croire que tous les gens que nous côtoyons utilisent la même machine que nous, donc comprennent la réalité de la même façon que nous.
Korsysbsky va plus loin. Selon lui, cette notion de carte différente du territoire s’applique également aux mots avec les choses qu’ils désignent.
En PNL, nous disons que chaque personne possède sa propre carte du monde et que c’est à partir de cette carte du monde qu’elle prend ses décisions, son vocabulaire et ses comportements. Tenter de comprendre la carte du monde de l’autre, en mettant la sienne de côté, est à la base d’une communication harmonieuse et sincère.
Quand on croit que l’autre personne a la même carte que nous, on s’attend à ce qu’elle comprenne exactement ce qu’on veut dire, qu’elle agisse comme on le veut, qu’elle réfléchisse comme nous. Or les cartes du monde sont différentes de la nôtre.
C’est merveilleux, non? Les situations de malentendu ou d’incompréhension sont de bonnes occasions pour se poser des questions du type :
- Quelle est ma carte dans cette situation?
- Et quelle est (ou pourrait) être la carte de l’autre?
- Quelle est SA réalité?
Entraînez-vous à questionner la carte de l’autre, à distinguer ce qui vous appartient et ce qui appartient à l’autre.
Pour les gens en entreprise, amusez-vous avec l’exercice suivant. Demandez quelles sont les valeurs de l’entreprise et qu’est-ce qu’elles signifient pour chacun des participants. Vous pourriez être surpris des réponses!
En résumé, Vous seul créez votre propre monde (votre carte), qui vous guide au quotidien dans vos pensées, vos émotions et vos actions et il est possible de changer votre manière de créer votre propre monde, lorsque votre stratégie actuelle est inefficace et mène à la souffrance.
En changeant votre propre réalité, vous constaterez que le monde extérieur, dans lequel vous vivez semblera changez aussi.
Soyez flexible, ouvert d'esprit et observez si vos conceptions des choses vous rendent la vie meilleure ou plus difficile. Et si vos propres perceptions ne vous aident pas, apprenez à voir les choses sous un autre angle.
La question à vous poser est : "Quelle carte du monde utilisez - vous ?" et n'est il pas le moment de faire des mises a jour ?
Liens vers les 2 articles :
lamagieduchangement.wordpress.com
lecoachenligne.com/category/la-carte-n-est-pas-le-territoire
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